Le chienflautéet le matadeurLe Julí

Je ne suis pas studieux et apliqué comme le profeseur et catedratique Fernando Martínez, que a la matin de Les Rouges, avec le Pingoroux, se pon a entonner La Marselleise -a pesar de la chaleur- avec une voix tres mélodieuse et en parfait français, que asemejé al mismisime Charles Aznavour. Non. Je ne parlé francaise rien. Ni de loin. Pero mesdames et messieurs, je pens que ajorduí debo ecrire en française macarroniqué, a homenajeé a la grand nation voisin, que ha doné una leçon de dignité et señoruá a tout la Spagne. L´autre après-midi, dan la arenne de morlacs de Arlés, toreé le matadeur spagnol Julián Lopez, Le Julí, -dernier capot de marcher de la fête de Almería- y de pront, un juligán, un gamberré, un chienflauté antitaurín, sauter dans le alberó avec la intention de arreé un japuán al toreador, et además por la derriere, como un tío merde. Si eso se produit ici en Spagne, bien sur que plus d’un applaudi comme un fou al capulle, pero afortunadament, la France c'est un pays sérieux, allergique à le gilipolluá. En Arlés, rapidament, la Gendermerie persecuté al espontaneé, avec grande ovation del respectable, que comencé a chanter à l'unisson La Marselleise –comme dans le film “Maison Blanche”- en hommage al diestro espagnol, que etait tres emocioné y a punt de pleurer como una magdalén. ¡Quelle difference entre la France y la Espagne pour défendre les traditions et le culture de l'Espagne elle-même! Y es que aquí hay beaucoup de terreur a exposer avec naturalité que les taureaux c'est une façon de culture et de art qui ne s'impose a nadie. Bravo pour le publique de Arles, ole pour la Gendarmerie et deux oreilles al tío qu'est-ce qu'il pensait a chanter el hymne national français pour compenser et desagravié a Le Julí. Si les choses siguen de cette façon, lo mismo acabo demandant le doublé nationalité et portand a la meriend una baguette de fromage et une bouteille de Beaujolais. ¡Vive la France!